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Calculating...

Alors, euh… on va parler des trois piliers de la richesse mentale. Imaginez un peu, un jour ensoleillé, hein, en juin… Steve Jobs, le fondateur d'Apple, quoi, il se tient devant la promo de Stanford. Il venait de traverser une période difficile, vous voyez, avec son cancer. Et là, il leur dit un truc… un truc qui claque, quoi.

Il dit… euh… "Votre temps est limité, alors ne le gaspillez pas à vivre la vie de quelqu'un d'autre. Ne soyez pas piégés par le dogme – qui consiste à vivre avec les résultats de la pensée d'autres personnes. Ne laissez pas le bruit des opinions des autres étouffer votre propre voix intérieure. Et surtout, ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. Ils savent déjà ce que vous voulez vraiment devenir. Tout le reste est secondaire…. Restez affamés. Restez fous." C'est beau, hein ?

En fait, ses mots, c'est une super intro aux trois piliers de la richesse mentale : le but, la croissance, et l'espace.

Le but, c'est la clarté de définir votre vision, votre truc à vous, qui donne du sens à votre vie et qui aligne vos décisions à court et long terme. C'est refuser de vivre la vie de quelqu'un d'autre, quoi.

La croissance, c'est cette soif de progresser, de changer, en comprenant que votre intelligence, vos capacités, votre caractère… tout ça, c'est en évolution constante, c'est pas figé, quoi.

Et l'espace… c'est la création de moments de calme, de solitude, pour réfléchir, pour se recentrer, pour se poser des questions, pour recharger les batteries. C'est la capacité d'écouter sa voix intérieure, quoi. C'est super important !

Alors, pour le but, parlons-en. Il y a une histoire intéressante… Il y avait un article dans National Geographic, un truc sur les "zones bleues". C'est des endroits dans le monde où les gens vivent super longtemps. Et devinez quoi ? Ces gens ont tous un but dans la vie !

Un but qui leur donne un sens chaque jour, qui crée une identité, une compréhension de qui ils sont, ce qu'ils représentent, où ils vont. Ça définit leur relation avec le monde, quoi.

Moi, par exemple, mon but, c'est de créer des ondes positives dans le monde, à travers mes écrits, les projets que je lance ou dans lesquels j'investis, mes relations… C'est assez simple, en fait. Mais ça donne de la clarté à mes actions.

Votre but, c'est votre arme dans la bataille pour être unique, quoi. C'est quand vous dépassez vos propres intérêts et que vous manifestez ce but dans le monde. C'est se connecter à quelque chose de plus grand que soi, quelque chose qui définit votre identité et guide vos actions quotidiennes.

Et, truc intéressant, les études ont montré que ça aide à vivre plus longtemps et plus heureux. C'est pas rien, hein ? Le but, c'est pas forcément lié à votre boulot. Moins de 20% des gens qui ont un but clair disent que c'est leur travail.

C'est super personnel, en fait. Un gars mentorait des jeunes en difficulté. Une femme s'impliquait dans son église. Une maman s'occupait de ses enfants. Une autre faisait de l'activisme… Bref, c'est varié, quoi.

L'important, c'est que ce soit votre but, à vous. C'est comme dit un truc… un truc… dans le Bhagavad Gita : "Mieux vaut accomplir imparfaitement son propre dharma que parfaitement celui d'un autre." Votre but n'a pas besoin d'être grandiose, il doit juste être le vôtre.

Et puis, il y a la croissance. La croissance, c'est ce qui vous permet de rester au top, quoi, de pas vous laisser dépasser. C'est un acte de courage, parce que la plupart des gens évitent les efforts. Mais pourquoi apprendre une nouvelle langue quand il y a Google Traduction ? Pourquoi se lancer dans un nouveau hobby quand on peut regarder la télé ?

Parce que vous êtes capable de tellement plus que vous ne le pensez ! Et chercher à atteindre ce potentiel, c'est un truc qui vaut le coup, quoi. Ça vous maintient en forme et ça prouve que vous pouvez changer, évoluer, vous adapter.

L'histoire est pleine d'exemples de gens qui ont appris toute leur vie et qui ont accompli des trucs incroyables. Benjamin Franklin, par exemple. Il a fait plein de trucs différents ! Et il consacrait une heure chaque matin à apprendre.

La bonne nouvelle, c'est que cette soif de croissance, c'est un état d'esprit, pas une aptitude innée. Tout le monde peut le faire.

En fait, il y a des études qui montrent que si on félicite les enfants pour leur intelligence, ils ont moins envie de relever des défis. Alors que si on les félicite pour leurs efforts, ils sont plus motivés.

Carol Dweck, une chercheuse, a montré qu'il y a deux types d'état d'esprit : l'état d'esprit fixe et l'état d'esprit de croissance. L'état d'esprit fixe, c'est quand on pense que nos capacités sont figées. L'état d'esprit de croissance, c'est quand on pense qu'on peut évoluer.

Ceux qui ont un état d'esprit de croissance sont prêts à affronter les défis de la vie avec optimisme. Ils savent que les bonnes choses ne tombent pas du ciel, qu'il faut travailler dur. Et ça, c'est la base de la richesse mentale.

Comme disait Gandhi : "Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours."

Et enfin, l'espace. L'espace, c'est l'art de se retrouver. Vous savez, on est toujours connectés, on n'a jamais un moment à soi.

Un moine bouddhiste, Matthieu Ricard… il est considéré comme l'homme le plus heureux du monde. Des chercheurs ont étudié son cerveau pendant qu'il méditait, et ils ont découvert qu'il produisait des ondes gamma à des niveaux jamais vus. Ça veut dire que la méditation et la pleine conscience peuvent changer le fonctionnement du cerveau et contribuer à une vie plus saine et plus riche.

Mais comment faire quand on n'est pas moine ? Comment trouver de l'espace dans notre vie ?

On dit souvent, en paraphrasant Viktor Frankl, que notre pouvoir se trouve dans l'espace entre le stimulus et la réponse. C'est-à-dire qu'il faut créer de l'espace pour pouvoir réagir de manière réfléchie, pas juste instinctive.

Dans un monde de connexion permanente, l'espace est rare. Combien de fois avez-vous l'impression de ne pas avoir un seul moment à vous dans la journée ?

C'est dans cet espace qu'on peut penser, se recentrer, se poser des questions, gérer le stress, recharger les batteries. C'est là qu'on écoute sa voix intérieure, que les idées se connectent et qu'on trouve de nouvelles perspectives.

John D. Rockefeller, un des hommes d'affaires les plus riches de l'histoire, avait l'habitude de se promener dans ses jardins tous les après-midis, sans rien faire d'autre que respirer. L'espace, c'est trouver votre jardin à vous, un endroit où vous pouvez ralentir et respirer.

Ça peut être une promenade sans téléphone, une prière, un journal intime, une pause entre deux réunions, une séance de sport… L'important, c'est de trouver votre espace, quel qu'il soit. Pas besoin de vœux de moine !

Voilà, les trois piliers : le but, la croissance, et l'espace. Avec ça, on peut construire une vie de richesse mentale.

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