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Bon, alors, chapitre soixante-trois... On va parler de richesse mentale, hein. C'est... c'est un sujet vachement intéressant, je trouve.
En gros, la question centrale c'est: "Qu'est-ce que ton toi de dix ans te dirait aujourd'hui?". Ça fait réfléchir, hein? Parce que, souvent, on se laisse un peu... disons, on se laisse un peu happer par le quotidien, et on oublie un peu les rêves qu'on avait quand on était plus jeune.
Alors, la richesse mentale, c'est basée sur trois piliers, paraît-il. Le premier, c'est la... c'est le but, le "purpose", comme ils disent en anglais. C'est avoir une vision claire, un objectif précis qui donne du sens à ce qu'on fait au quotidien. Et surtout, c'est pas vouloir vivre la vie de quelqu'un d'autre, quoi. C'est vraiment trouver sa propre voie.
Le deuxième pilier, c'est la croissance. C'est, comment dire, cette soif de progresser, de changer, d'évoluer... avec la conviction qu'on peut toujours s'améliorer, qu'on a un potentiel illimité, quoi. C'est important, ça, de se dire qu'on peut toujours apprendre et grandir.
Et le troisième pilier, c'est l'espace. Le "space", quoi. C'est le besoin de se créer des moments de calme, de solitude, pour réfléchir, pour se recentrer, pour se poser les bonnes questions et se ressourcer, tu vois? C'est aussi, être capable d'écouter sa voix intérieure. C'est hyper important de prendre le temps de s'écouter.
Après, y'a un petit test, un "Mental Wealth Score". On te donne plusieurs affirmations et tu dois répondre avec une note de zéro à quatre. Zéro, c'est "pas du tout d'accord" et quatre, c'est "tout à fait d'accord".
Genre: "J'adopte régulièrement une curiosité enfantine". C'est vrai que c'est important de garder un esprit curieux, hein?
Ensuite: "J'ai un but clair qui donne du sens à mon quotidien et qui aligne mes décisions à court et à long terme".
Après, il y a: "Je poursuis ma croissance et je cherche constamment à atteindre mon plein potentiel".
Et encore: "J'ai la conviction profonde que je suis capable de changer, de me développer et de m'adapter en permanence".
Et enfin: "J'ai des rituels réguliers qui me permettent de me créer de l'espace pour réfléchir, me recentrer, me poser les bonnes questions et me ressourcer".
Après, tu fais le total de tes notes, ça te donne un score entre zéro et vingt. Ça te donne une idée de ta richesse mentale, quoi.
Et puis, après, on parle d'objectifs, de "anti-objectifs" et de systèmes. On te propose de te fixer un objectif de score de richesse mentale à atteindre dans un an. Et de définir des étapes intermédiaires, des "checkpoints" pour y arriver.
Et puis, les "anti-objectifs", c'est les trucs que tu veux absolument éviter pendant ton parcours.
Et enfin, les systèmes, c'est les actions concrètes que tu vas mettre en place pour progresser vers ton objectif. Des petites habitudes à mettre en place, quoi.
Et puis, il y a un "One-Week Jump Start". Pour te lancer, quoi. On te propose de faire l'exercice de l'"ikigai". L'ikigai, c'est un concept japonais qui parle de trouver sa raison d'être.
Tu dois faire trois listes séparées:
Ce que tu aimes: Les activités qui te donnent de l'énergie, qui te rendent heureux.
Ce dans quoi tu es bon: Les activités qui te semblent faciles, naturelles.
Ce dont le monde a besoin: En gros, quel est le besoin autour de toi, dans ton environnement?
Ensuite, tu regardes où se recoupent les trois listes. Et ça, c'est un point de départ pour explorer et découvrir le but de ta vie, quoi. C'est pas mal, hein?
Voilà, en gros, le chapitre soixante-trois. C'est un peu de développement personnel, mais c'est toujours intéressant de se poser ces questions, tu vois? Ça permet de se recentrer et de se rappeler ce qui est vraiment important pour nous.