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Calculating...

Euh, bon, alors, on va parler un peu d'un truc... euh... de "Mieux Réussir en Affaires". C'est, disons, une petite exploration, hein, une réflexion sur... l'évolution, quoi.

Figurez-vous, je me suis plongé dans un texte, et ça commence... tenez-vous bien... avec un chat, le chat de Tesla, Macak. Apparemment, il se promenait dans une pièce éclairée à la bougie et... il avait comme une auréole! Nikola Tesla, lui-même, était tout émerveillé. Ça le renvoyait à sa question d'enfant: "C'est quoi, l'électricité?". Et même à 83 ans, il se la posait encore! C'est fou, non?

Ça m'a fait penser que, pendant longtemps, ben, pas mal de phénomènes naturels étaient expliqués... ou pas expliqués du tout! ... par le surnaturel, quoi. Les anguilles qui électrisent leurs proies, les éclairs, même les grenouilles qui bougent quand on met deux métaux dedans... Bizarre, bizarre.

Et puis, avec la Renaissance et les Lumières, hop, la science est arrivée. On a commencé à comprendre que tout ça, c'était des manifestations d'une seule force : l'électricité. Mais bon, au début, c'était plus de la curiosité qu'autre chose.

Alors, qui a "découvert" l'électricité? Ah, la grande question! Franklin avec son cerf-volant sous l'orage? Volta avec sa pile? Oersted qui a lié courant électrique et magnétisme? Faraday avec ses champs de force? Maxwell qui a mis tout ça en équations? En fait, un peu tout le monde, quoi! Le savoir collectif, c'est ça, c'est une création collective.

Et ce savoir a mené à l'intelligence collective : l'application de ce savoir à des problèmes concrets. Le cerf-volant de Franklin, ça a donné les paratonnerres sur les bâtiments. Morse, avec le télégraphe, a gagné un paquet d'argent.

Et puis... Bell, avec le téléphone. Il étudiait les vibrations de la voix pour aider sa femme, Mabel, qui était sourde. Et bam! Le téléphone! Grâce, en partie, au père de Mabel.

D'autres ont eu des idées similaires. Edison, par exemple, avec ses lampes électriques. Et Tesla, qui a réussi à imposer le courant alternatif (AC) contre le courant continu (DC) d'Edison. Cherchez "inventeur du moteur électrique", vous aurez une douzaine de noms!

Elon Musk a même appelé sa compagnie automobile Tesla, en hommage à ce dernier. C'est dire l'impact qu'a eu Tesla!

Imaginez un monde sans électricité. Pas facile, hein? Plus de communication instantanée, tout à la force des bras, et une seule machine à vapeur pour toute une usine. Dingue!

Et puis, en parlant d'évolutions majeures, parlons un peu de l'aviation.

Depuis toujours, l'idée de voler a fait rêver. Icare s'est brûlé les ailes en volant trop près du soleil. On pensait qu'il fallait imiter les oiseaux, battre des ailes. Mais il a fallu attendre le 17ème siècle pour commencer à comprendre les mécanismes du vol. Et même aujourd'hui, on ne comprend pas tout à fait pourquoi les avions volent!

Hooke a compris qu'un objet n'a pas besoin de tomber s'il a une force de propulsion suffisante. Mais comment avoir cette force? Ben, avec la machine à vapeur.

Watt a amélioré la machine de Newcomen. Mais il fallait aussi le sens des affaires de Boulton pour que ça marche. Et Murdoch, avec ses améliorations techniques. La machine à vapeur a été un moteur clé de la révolution industrielle. C'est un bel exemple de savoir collectif, d'expertise technique, et de sens des affaires. Un peu comme le développement de l'iPhone, plus tard.

Trevithick a eu l'idée de mettre un moteur sur des roues. Stephenson a convaincu les promoteurs d'une ligne de chemin de fer d'utiliser un moteur à vapeur pour tirer les wagons. Et là, bim, c'est le train! Puis les lignes de chemin de fer à travers les États-Unis.

Bon, les premiers moteurs à vapeur étaient trop lourds pour l'aviation. Mais l'idée d'un avion à charbon a germé. Young a reconnu le potentiel du pétrole et l'a extrait du schiste bitumineux. Puis, le moteur à combustion interne est arrivé. Et les frères Wright ont fait voler leur premier avion.

L'aviation est née de l'accumulation de savoirs scientifiques et de leur application par les ingénieurs. Et les hommes d'affaires ont combiné ces compétences avec les compétences organisationnelles pour développer des produits commerciaux. Le Boeing 737 est entré en service. Puis le 747. Et l'Airbus A320, un des produits les plus complexes de notre époque.

L'Airbus, c'est un réseau international complexe. Les pièces sont fabriquées dans différents pays et assemblées à Toulouse. Il y a même des avions spéciaux pour transporter les pièces!

On parle souvent de "courbe d'apprentissage". Smith l'avait déjà observée dans une fabrique d'épingles. Plus on répète une tâche, mieux on la fait. La "courbe d'expérience", c'est la même chose, mais au niveau collectif. Dans l'aviation, le coût de chaque avion diminue avec la production. C'est le résultat de l'intelligence collective.

La conception des avions a évolué pas à pas. Des milliers d'améliorations ont permis de passer du premier vol des frères Wright à des avions qui transportent des centaines de passagers sur des milliers de kilomètres. Le système "fly-by-wire" permettrait presque de voler de Londres à Sydney sans pilote! Et pour voler à Sydney, il faut un réseau complexe de réservations, de gestion au sol, de contrôle aérien. Smith aurait été impressionné par cette division du travail! Mais la division du travail exige l'échange, et l'échange exige une notion de valeur.

On parle souvent de la "sagesse des foules". Aristote en parlait déjà. Galton avait remarqué que la moyenne des estimations du poids d'un bœuf lors d'une foire était proche du poids réel.

Aristote ne pensait pas aux concours de poids ou à l'hypothèse d'un marché efficace. Il parlait de l'agrégat, pas de la moyenne. Un peu de "nourriture impure" mélangée à de la "nourriture pure" rend l'ensemble plus nourrissant. Il reconnaissait l'importance de l'expertise. Pour savoir si un médecin a donné le bon traitement, il faut être médecin! Voler en avion profite de l'expertise des pilotes, des contrôleurs aériens, etc., mais pas de l'opinion moyenne des passagers!

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