Apprendre : La Clé du Futur ? - Hyper-efficace

Alors, voilà, euh… on va parler un petit peu d'apprentissage, hein, parce que c'est quand même le truc le plus important, surtout avec tout ce qui change autour de nous. C'est un peu la clé de la réussite, quoi.

Et en fait, ce qui est fou, c'est que la technologie avance tellement vite que notre cerveau, bah, il a du mal à suivre. C'est comme si on était dans une course, et la technologie, elle a déjà pris un énorme avantage. On a l'impression que ce qu'on a appris à l'école, à la fac, c'est déjà dépassé en quelques années seulement. Je le vois bien, moi, avec mon métier, hein. Quand j'ai passé mes examens, y'avait un truc, une technique d'imagerie, qu'on appelait l'OCT, dont personne ne parlait. Et puis, quelques années après, c'était devenu indispensable, comme... comme savoir lire une radio des poumons pour un pneumologue, quoi!

Du coup, faut se mettre à jour tout le temps, apprendre en continu. Et c'est ça, qui va faire la différence entre ceux qui réussissent et ceux qui galèrent, apparemment. C'est plus tellement le diplôme, mais plutôt la capacité à apprendre tout au long de sa vie.

Alors, comment on fait, hein? Imaginez que vous apprenez pour un examen, mais que le programme change tout le temps. Faut s'adapter, quoi. Des fois, on apprend une nouvelle compétence, des fois, on apprend des nouvelles infos, et des fois, on essaie de comprendre des concepts compliqués. Faut savoir changer de vitesse, quoi, pour être efficace.

Et ce qui est dingue, c'est que même les outils apprennent maintenant! L'intelligence artificielle, ça s'améliore tout seul, en continu. Du coup, si elle apprend plus vite que nous, bah, elle change plus vite qu'on apprend à l'utiliser. Les grands modèles de langage, c'est typiquement ça. Faut se jeter à l'eau et apprendre sur le tas. Faut pas hésiter à se lancer, même si on n'y connaît rien.

Quand on est face à l'inconnu, on se sent pas super à l'aise, hein? C'est normal. Mais c'est justement cette sensation, ce petit stress, qui nous aide à apprendre. Le cerveau, il s'active à fond. Faut juste faire attention à ne pas trop stresser, sinon, on bloque complètement. Faut trouver le bon équilibre, quoi, la bonne dose de défi.

Y'a un mec, un cadre dans une grosse boîte de tech, il me racontait que quand il a commencé, il était complètement paumé. Tout était nouveau, inconnu. Il avait peur de modifier le code avant de bien comprendre comment ça marchait. Résultat: il avançait pas. Son chef l'a un peu secoué, et là, il a décidé de se lancer, même sans tout savoir. Il a commencé par un petit changement, puis un autre, et petit à petit, il a pris de l'assurance. Il a appris plus vite que s'il avait passé des heures à lire la documentation.

Une autre personne, qui travaille dans la finance, me disait la même chose. Quand elle est devenue manager, elle s'est retrouvée sur un projet dont elle ne connaissait rien. Et en plus, son équipe ne lui faisait pas encore confiance. Du coup, elle a commencé par les trucs qu'elle connaissait déjà un peu, la gestion de projet, la communication. Et petit à petit, elle a élargi ses compétences. C'est mieux de commencer par ce qu'on maîtrise déjà, et de progresser ensuite, même si c'est pas super optimisé.

Alors, en résumé, faut apprendre à se lancer dans l'inconnu, faut être à l'aise avec ça. C'est une compétence hyper importante, et ça donne un avantage énorme.

Maintenant, parlons un peu de comment on apprend, hein? En gros, faut capter l'info, la mettre sur une étagère temporaire dans notre cerveau, et ensuite, la ranger dans la mémoire à long terme.

L'attention, c'est essentiel. Si on est distrait, on n'enregistre rien. C'est plus facile d'apprendre des infos simples quand on est concentré, dans un état d'esprit positif. Une fois qu'on a l'info sur notre étagère temporaire, faut faire gaffe à ne pas se laisser distraire par d'autres trucs. Faut prendre un petit moment pour soi, juste après avoir appris quelque chose, pour bien le fixer. C'est peut-être pour ça que marcher, ça aide à apprendre du vocabulaire.

Et après, on peut booster l'apprentissage en stimulant un peu son cerveau. En gros, faut provoquer un petit pic d'énergie, peut-être en regardant une vidéo motivante. Ça aide à mieux retenir les infos.

Ah oui, et l'exercice physique, c'est super important! Le cerveau a besoin de carburant pour apprendre, et l'exercice aide à lui en fournir. En fait, ça augmente le taux de lactate dans le corps, et ce lactate, il va dans le cerveau et l'aide à mieux fonctionner.

Mais bon, c'est pas toujours facile de savoir quel type d'exercice est le plus efficace. Y'a une étude qui a montré que faire du sport quatre heures après avoir appris quelque chose, c'était mieux que de le faire tout de suite après. Et dans une autre étude, des petits sprints de trois minutes, avant d'apprendre du vocabulaire, ça améliorait l'apprentissage de 20%.

L'exercice, ça aide à apprendre en augmentant notre niveau d'énergie et en stimulant la production de noradrénaline. Faut juste pas en faire trop, sinon, on est trop fatigué après et on n'apprend plus rien. Faut trouver le juste milieu.

Si on fait de l'exercice pendant qu'on apprend, faut que ce soit léger, comme marcher. Ça aide à rester concentré.

Et pour apprendre des concepts compliqués, c'est différent. C'est comme ranger un livre dans une immense bibliothèque qui change tout le temps. Faut faire des liens entre les nouvelles idées et ce qu'on connaît déjà. Faut être agile, alterner les moments de concentration intense et les moments de détente où on laisse son esprit vagabonder. Et des fois, faut juste se concentrer sur ses propres pensées, réorganiser sa bibliothèque mentale. La marche, c'est une bonne façon de faire ça. Y'a plein de gens qui disent avoir eu des éclaircissements pendant une longue promenade.

Enfin, parlons des souvenirs flash, ces moments où on se souvient de tout dans les moindres détails, parce qu'on a vécu une émotion forte. Ces souvenirs se gravent dans notre mémoire, mais on ne peut pas apprendre de nouvelles choses dans cet état émotionnel intense. On peut se souvenir de l'odeur dans la salle d'examen, mais pas des questions sur la feuille.

Les émotions peuvent aider à l'apprentissage, en rendant ce qu'on essaie d'apprendre plus mémorable. Mais faut pas que les émotions soient trop fortes, sinon, on sort de notre zone d'apprentissage optimale. Seuls les souvenirs flash sont possibles quand on est complètement bouleversé émotionnellement. Voilà, voilà.